On dénombre aujourd' hui dans cet amas environ 3.000 étoiles, dont une douzaine sont visibles à l' oeil nu. Il s' étend sur 2°, soit l' équivalent de 4 fois le diamètre de la Lune. Sa densité est donc relativement faible par rapport aux autres amas ouverts. L' age de l' amas est estimé à 100 millions d' années, mais il ne devrait pas vivre longtemps puisqu' il devrait se séparé dans 250 millions d' années, en partie à cause de sa faible densité (il s' agit ici de la vie de l' amas et non des étoiles qui le composent.

Atlas : magnitude 3,62.      Pleione : magnitude 5,09.      Merope : magnitude  4,17.      Electra : magnitude 3,70.      

Alcyone : magnitude 2,86.      Célaéno : magnitude 5,44.      Maia : magnitude 3,86.      Taygeta : magnitude 5,44.     

Asterope : magnitude 5,64- 6,41.

L' origine du nom : "Pléiades" provient de la mythologie grecque, les Pléiades sont sept soeurs, filles d' Atlas et de Astérope, Pleione , Mérope, Electre, Maia, Taygète, Célaéno et Alcyone...    

Régulus : alpha, magnitude 1,36. Distance au Soleil 85 AL. Brille comme 160 soleils.

Denebola : bêta, magnitude 2,14. Distance au Soleil 43 AL. Brille comme 60 soleils.

Algieba : gamma, magnitude 1,98. Distance au Soleil 90 AL. Brille comme 60 soleils.

Le Lion contient plusieurs galaxies brillantes dont les jumeaux M65 et M66 entre Leonis et M95 et M96 à l' est de Régulus, sont les représentants  les plus fameux. M65 et M66 sont deux galaxies spirales distantes de 27 millions d' AL et qui sembles être liées gravitationnellement. M95 et M96, deux galaxies spirales là aussi, sont éloignées de 29 millions d' AL et constituent un petit amas avec plusieurs autres galaxies moins brillantes.

Comme toutes les Constellations du zodiaque, le Lion a des origines très anciennes. Mentionnées par Aratus puis Ptolémée dans son Almageste, elles correspondraient dans la Mythologie Grecque au Lion de Némée tué par Héraclès lors du premier de ses douzes travaux. 

Mirfak ou Algenib : alpha, magnitude 1,8. Distance au Soleil 570 AL. Brille comme 4.000 soleils.

Algol : bêta, magnitude 2 à 3,5. Distance au Soleil 75 AL. Pose encore beaucoup de questions aux astronomes.

Menkib : dzêta, magnitude 2,83. Distance au Soleil 1.000 AL. Brille comme 6.300 soleils.

La constellation de Persée est une des plus anciennes constellations connues dans le ciel nocturne, qui remonte à l' Antiquité grecque. Il fut d' abord cartographié par un astronome grec Ptolémée, astrologue mathématicien et géographe, dans le lle siècle après J-C Ptolémée est l' auteur de l' Almageste, le traité antique complet sur l' astronomie, qui contenait des modèles astronomiques dans les tableaux qu' il a été facilede calculer le passé et futures positions des planètes ainsi qu' un catalogue de 1.022 étoiles et leurs positions dans les constellations star. Persée est l' un des 48 constellations incluses dans le catalogue de Ptolémée et est toujours l' un des 88 constellations modernes, reconnues par l' Union astrnomique internationale...

Véga : alpha, magnitude 0,04. Distance au Soleil 26 AL. Brille comme 58 soleils.

Sheliak : bêta, magnitude 3, 5 et 4,3. Distance au Soleil entre 800 et 1.200 AL. Brille comme 3.000 soleils.

Sulaphat : gamma, magnitude 3,25. Distance au Soleil 370 AL. Brille comme 520 soleils.

La Lyre est une constellation  ancienne. Les civilisations antiques au Moyen-Orient y voyait un vautour. Les astronomes grecs y voyaient une lyre (ou plutôt une "kithara") et les cartes du ciel les plus vieilles la représentaient généralement tenue dans les griffes d' un vautour. Lyre était l' une des 48 constellations identifiées par Ptolémée.

Sous la forme d' un vautour, cette constellation s' est racrochée à la légende d' Hercule qui, pour son 6ème travail, tua les oiseaux du lac Stymphale. La constellation est d' ailleurs proche du Cygne et de l' Aigle.

La lyre représenterait pour sa part l' instrument de musique d' Orphée...  

Depuis l’ISS, une comète a été filmée lors de sa rencontre avec le Soleil. Des images impressionnantes et spectaculaires.


Et pas n’importe quelle comète puisqu’il s’agit de la comète Lovejoy. Celle-ci est constituée principalement de poussière et de gaz. Et c’est l’astronaute Dan Burbank, commandant de l’expédition 30, qui a pu voir et immortaliser ce spectacle le 22 décembre 2011 depuis l’ISS à quelques 400 kilomètres d’altitude.

La comète avait été découverte le 2 décembre dernier par l’astronome australien Terry Lovejoy. Et depuis lors, de nombreux amateurs avaient eu la chance de pouvoir l’observer depuis l’hémisphère sud.

Et bonne surprise, malgré un passage à proximité du Soleil, elle a « survécu ».